Pierre Perrin, Lilécrit
Une suite de clichés en liberté et leurs commentaires
Quand, comment, pourquoi, pour qui ?
Rattachée aux “proses”, cette annexe appelle et rappelle un plaisir de conjugaison qui avait trouvé son titre et son espace dès 2003. L’actuelle refonte en cours d’achèvement [400 pages] renouvelle ce plaisir. Voici donc quelques pages anciennes que d’autres suivront à leur rythme.
Le retour de lenfant prodigue
Rentrer chez soi, fût-ce dans le plus pauvre des villages,
nest-ce pas un bonheur ? Dautres nont en tête
que les grands espaces, linconnu, la révolution. Partir attendra
bien que le souffle… — Continuer la lecture, texte et photo
La marche en hiver
Ce port tendrement altier se passerait de commentaire, s’il ne tendait
ici un vrai regard humain. Combien de mésanges et de coups
de fusil, les premières croquées, les seconds évités,
sont passés… —
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Traces bougonnes
Cest lhiver devant soi, quon scrute mieux avec lâge.
Le pied craque-t-il – un imperceptible cahot, à peine un murmure dans la chaussure –,
on retrouve, tout à trac, les jours enfouis. On affûte… — Continuer la lecture, texte et photo
Lapocalypse tranquille
Cest le feu, la coulée de lave dune blessure peut-être
ancienne que cette apocalypse tranquille de Jo Bardoux. Cest dune
tendre violence. Il y a là des chairs… — Continuer la lecture, texte et photo
Pierre Perrin, à suivre, le temps venu…